Le standard de base IMAP impose des sections de séquences avec des grafcet qui ont un pas de 10 pour permettre l’insertion des étapes après la mise en route, si besoin.
Figure 30 : G7 standard d’une section IMAP
- L’étape 0 est l’étape RAZ d’initialisation de toutes les variables de la séquence ;
- L’étape 10 est l’Étape initiale.
Si cette façon de programmer est simple et adaptée aux petites installations, elle n’impose pas de restrictions aux projets très complexes.
Souvent dans ce type d’approche, chaque fonction est liée à une section appart, et les blocages sont réalisés avec des synchronisations. En dehors des situation critiques telles que les casses mécaniques ou NEP, ce type de gestion n’est pas adapté au process continu (ex. liquide).
Au lieu d’avoir trois sections appart et une section « maître », il faut privilégier les branches à l’intérieur de la séquence ; résultat une section avec les trois fonctions à l’intérieur où seulement une fonction peut être active à moment donné. L’inconvénient est que les sections deviennent plus grandes, d’où l’importance d’une programmation « soignée ».
Pour faciliter le dépannage et la compréhension du code, les fonctions doivent être structurées en blocs logiques distincts, avec une numérotation d'étape par milliers. Chaque bloc logique doit avoir une fonction clairement définie et les étapes à l'intérieur de ce bloc doivent être numérotées séquentiellement. Si une fonction est répétable, il est important d'utiliser une logique cohérente et réutilisable.
Dans les séquences de gestion de transferts, les purges sont toujours codées dans la plage d'étapes 1000 et 1999.